5 questions : Vivre en paroisse et évangélisation … les témoins du quotidien

Aujourd’hui, les questions sont posées à nos 2 jeunes animatrices de 4è/3è sur notre paroisse.

Solène et Gaëlle, pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?

Solène : Je m’appelle Solène, j’ai 17 ans et je suis en terminale ES.

Gaëlle : Je m’appelle Gaëlle, j’ai actuellement 17 ans, je suis en classe de terminale ES.

Pourquoi êtes-vous devenues animatrices ?

Solène : Je suis devenue animatrice car j’ai eu envie de partager ma foi avec des personnes jeunes et  leur montrer mon parcours religieux. J’ai surtout été motivée par Tiphaine, mon ancienne animatrice, Tiphaine. Lors de son départ de la paroisse  j’ai voulu prendre un peu le relais et continuer à sa place.

Gaëlle : J’ai commencé à m’intégrer dans la communauté chrétienne il y a environs 5 ans. Tout a débuté quand j’ai suivi mon amie Solène à ses rencontres d’aumôneries. Je ne suis pas baptisée, mais j’ai tout de suite adhéré à cette religion. Je suis maintenant intégrée à cette communauté chrétienne et j’anime des rencontres d’aumônerie avec mon amie Solène.

Quel est votre parcours religieux à chacune ?

Solène : Je suis baptisée depuis mes 1 ans et j’ai fait tout mon parcours religieux jusqu’à ma confirmation. Je suis actuellement animatrice pour les 4e/3e en aumônerie avec Gaëlle, Valérie G. et Myriam.

Gaëlle : Je suis devenue animatrice car on me l’a proposé et j’avais envie de rencontrer les jeunes de la paroisse pour échanger avec eux et voir le point de vue  sur la religion de différentes personnes. D’autre part, ces rencontres d’aumôneries me permettent à moi aussi d’en apprendre davantage sur la religion chrétienne.

Qu’allez-vous faire pendant votre Carême ?

Solène : Pendant le Carême, avec Tiphaine et Gaëlle je vais aller visiter plusieurs paroisses afin de voir comment les chrétiens d’autres paroisses vivent le Carême. J’ai également pour but d’aider mon prochain et de me priver des choses qui ne sont pas dispensables à ma vie.

Gaëlle : J’ai décidé pendant le Carême de me priver de toutes les choses non indispensables à ma vie, comme par exemple les bonbons ou encore la nourriture trop grasse. Autrement j’ai décidé de manger sainement et d’arrêter la gourmandise.

Merci les filles

5 questions : JMJ … engagez-vous !

Nous avons posé 4 questions seulement à Laura qui est revenue des JMJ.

1/ Laura, peux-tu te présenter en quelques mots ?

Je m’appelle Laura et j’ai 20 ans. Je suis en deuxième année de médecine et fidèle à l’église de Soisy depuis l’âge de 6 ans.

2/ Avais tu déjà fait des rassemblements ou voyages pour ta foi avant ?

Oui, j’ai déjà participé à plusieurs rassemblements avant les JMJ de Panama. Je suis allée au FRAT de Jambville, celui de Lourdes et à la communauté de Taizé.

3/ Comment as tu vécu tes JMJ ?

Les JMJ de Panama étaient mes premières. Partir d’un rassemblement de 10 000 croyants à Lourdes et se retrouver à 1 million de croyants au Panama c’est inimaginable tant qu’on ne l’a pas vécu. Les JMJ sont complètes sur tous les plans : culturel, touristique, social et bien entendu sur le plan spirituel. Voir et rencontrer, discuter dans d’autres langues de la même
personne qui est louée par tous, nous rappelle combien notre Dieu nous aime. Dans chacun de ces étrangers, je pouvais voir briller la lueur du Christ !

4/ Comment vis tu ton « après » JMJ ?

Ces JMJ m’ont quelque peu tourmentée spirituellement ! Je suis rentrée en France avec dans ma tête, la voix du pape François qui disait « Vous les jeunes, si vous êtes ici aujourd’hui, c’est pour trouver la vocation à laquelle le Seigneur Jésus vous a destinés ».
Alors en rentrant en France, j’ai eu un coup de fouet dans le visage et dans l’âme en me rendant compte que tous ces français n’avaient rien à voir avec les chrétiens que Dieu a mis sur ma route au Panama. Dans les transports, pas un sourire, pas un regard sur l’autre, pas d’aide apportée à l’autre, pas un seul signe de croix, on ne sait même pas ce que sont les JMJ… c’est là que j’ai senti que ma vocation à moi est de porter l’évangile de Jésus Christ autour de moi. Depuis mon retour, je n’ai aucune honte à faire mon signe de croix en passant devant l’église, ou encore à prier mon chapelet devant les gens. J’ai reçu une grâce au Panama, celle d’être invincible grâce à l’Esprit Saint. Si les autres ne veulent pas venir à Dieu et désirent rester à l’arrière alors moi je continue d’avancer vers mon Dieu, la tête haute et le cœur rempli de son amour.

Merci Laura

5 questions : JMJ … je revis !

1.    Fanny, qui es-tu en quelques mots ?

Logo JMJ

J’ai 22 ans, je suis étudiante en Master 1 d’Affaires Publiques à Sciences Po et je viens de la paroisse de Beauchamp.

2.    Avais-tu déjà fait des rassemblements ou voyages en groupe pour ta foi avant ?

En réalité, ce qui m’a donné envie d’aller aux JMJ, ce sont les deux FRAT (frat.org) que j’ai vécus quand j’étais adolescente : Jambville et Lourdes. Ces deux rassemblements de jeunes catholiques m’ont tellement marquée que j’avais envie de revivre une telle expérience et de rencontrer d’autres jeunes qui, comme moi, étaient animés par la foi et la joie du Seigneur. Si Jambville et Lourdes, qui sont respectivement des rassemblements à échelle régionale et nationale ont été des expériences très marquantes, les JMJ qui sont un rassemblement de jeunes catholiques du monde entier, s’annonçaient encore plus puissantes. Et ça s’est effectivement confirmé à Panama.

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Mardi Gras … mais pourquoi ?

Aujourd’hui, nous ne gardons que le mardi mais cette date clôturait initialement une période festive de 7 jours gras appelé les « jours charnel ». Ce jour de fête était initialement le jour de défoulement général avec un Carnaval.

Il annonçait, sous la Rome antique, la renaissance de la nature après une période hivernale. Il y avait une grande fête avec des joutes où l’on battait symboliquement l’hivers. Au fil du temps, les joutes ont été remplacées par des cortèges de char fleuri avec, en guise d’hiver, de grosses figurines en bois ou en paille que l’on brulait à la fin. C’est le début du Carnaval (qui dérive du latin médiéval carne levare, signifiant « enlever, retirer la chair »).

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